Reconnaissant et humble
dans la vie et la mort 

Le bien­heureux tré­pas de saint Joseph

Pen­dant sa mal­adie qui dura plusieurs années, les forces de Joseph dimin­uèrent pro­gres­sive­ment à cause des infir­mités et des souf­frances. Lorsque Marie s’aperçut du décès immi­nent de saint Joseph, elle deman­da à JÉSUS d’assister Son Père nourrici­er et adop­tif à l’heure de la mort. Le SAUVEUR répon­dit: „Ma Mère, tes prières Me sont agréables et les mérites de Joseph sont présent à Mon esprit. Je l’assisterai main­tenant. Mais un jour, Je lui assign­erai par­mi les princes de Mon peu­ple un siège si élevé que les Anges et les hommes s’émerveilleront et loueront DIEU. Je ne ferai pour per­son­ne ce que Je fais pour ton Époux.“

La veille de sa mort, saint Joseph put encore con­tem­pler de manière mer­veilleuse et non voilée la présence de DIEU et tous les mys­tères de la foi et de la vie éter­nelle. Lorsqu’il revint de l’extase, son vis­age ray­on­nait de beauté et d’une mer­veilleuse splen­deur et son âme était entière­ment trans­for­mée en DIEU. Joseph deman­da alors la béné­dic­tion de sa très sainte Épouse. Elle, cepen­dant, deman­da à JÉSUS de lui don­ner la béné­dic­tion souhaitée. Marie s’agenouilla alors à son tour, deman­da à saint Joseph sa béné­dic­tion d’adieu et, pleine de grat­i­tude, lui baisa sa main de bénédiction.

Même à l’heure de sa mort, saint Joseph a égale­ment voulu être recon­nais­sant et hum­ble, comme il l’a pra­tiqué toute sa vie. Il a remer­cié sa très sainte Épouse et lui a demandé par­don pour tout ce qu’il avait man­qué, en tant que faible … plus